

Traite bancaire de US$1,5 million, mandat de perquisition du SPVQ conjointement avec la GRC, sasie de documents, acceptation de subir le test du polygraphe à 2 reprises, saisie d’une Lamborghini, enquête criminelle de 6 mois, 15 heures d'interrogatoire pour 3 rencontres, poursuite civile n° 200-17-005324-058 de $777,000., Assignation du Président de la BNC, Jugements de la Cour Supérieure et de la Cour d'Appel du Québec en ma faveur, sont parmi les faits se rapportant à cette saga.
Invraisemblable. Impossible. Je sais. À vous aussi tout ceci devrait apparaître comme étant tout simplement incroyable. Suite au dépôt de la traite bancaire au montant de US$1,5M, la banque n'avait en main ni photocopie, ni image numérisée de cette dernière. US$1,5M et que des écritures comptables. Rien d'autre. J'en fût le premier surpris. Estomaqué.
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Lors d'une conversation téléphonique avec madame Manon Alain elle me demanda si je pouvais fournir mes documents à la banque Nationale du Canada en lui faisant parvenir à elle même par courriel. Je recopie donc ici-bas, le message que j'ai transmis à madame Alain auquel était joint une image numérique de la traite et ce recto & verso. La dernière partie montre l'accusé réception émis par le système informatique de la Banque Nationale du Canada et que j'ai reçu en confirmation à mon message.
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From: Off Shore Financial Services (Canadian Firm).
[mailto:
Sent: Tuesday, August 10, 2004 6:23 PM
To: 'succursale.10651@bnc.ca'
Subject: À l'attention de Mme Manon Alain
Importance: High
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Madame Alain,
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Pour faire suite à notre discussion téléphonique de ce jour, veuillez trouver en attaché l’image (recto & verso) de la traite bancaire.
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Jean Bedard, principal owner
Off Shore Financial Services (Canadian Firm).
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Return Receipt
Your document: ....À l'attention de Mme Manon Alain
was received by: ...Succursale 1065-1/SUCC/BNC
at: .......................08/10/2004 06:38:16 PM
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An English version of the actual Blog has been launch ;
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What they do not want you and Revenue Canada never knew about. All their secrets reveal.
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............BEWARE, KNOWING IS AT YOUR OWN RISK.
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Inclure cette référence au film Rocky me semblait rigolo. Approprié certainement, comme vous serez à même de le constater très bientôt.
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Vendredi. 17 novembre 2006. 10h30. Les plaidoiries des parties sont terminées et les pugilistes se retirent chacun dans leur coin le temps que monsieur le juge quitte sa salle en annonçant prendre la cause en délibéré.
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Je ramasse mes documents et les place à l’intérieur de ma valise. Je quitte à mon tour en m’adressant aux personnes encore présentes soit Me François Viau, M. Gilles Lavergne et la greffière lançant un "Bonjour et bon weekend à tous".
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Moins de 10 mètres parcourus hors de la salle de Cour, je tourne les talons et je retourne dans l’enceinte et me dirige d’un pas décidé vers Me François Viau lui tendant la main en lui disant "Me Viau, ce fut un plaisir" et posant le même geste cette fois envers M. Lavergne une poignée de main et le saluant simplement "M. Lavergne".
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Et là, je quittai à nouveau la tête haute et fier de moi. Il ne pouvait en être autrement.
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Aznavour dans sa chanson "Il faut savoir"….. il y chante qu’il faille savoir quand quitter la table…la façon de la quitter avec manières et distinction me paraît, quant à moi, tout aussi importante.
Il s’agit ici, vous l’aurez compris, d’une figure de style faisant état de la mauvaise ou si vous préférez de la fâcheuse position où se retrouve l’une ou l’autre des parties en présence lors d’une audience à la Cour. Inutile de vous préciser que ce genre d'observation évocatrice se fait à l'insu du décorum présent à la Cour supérieure du Québec. Cependant, les ajournements sont de bons moments pour tabler sur l'ébranlement que pareille remarque peut provoquer à la confiance de l'autre partie.
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Toujours est-il qu'elle me vient de Me François Viau, avocat & associé chez Gowling Lafleur Henderson s.r.l.
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Eh bien, le 17 novembre 2006. Dernier matin du procès. L’expression "Le cul sur la glace" a été mentionnée à deux (2) reprises.
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En quelle circonstance ? Par qui ? Dans quel ordre surtout ? Toutes ces questions trouveront très bientôt réponses.
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Tout comme vous, très certainement, j’avais entendu dire que lorsqu’un avocat remuait les lèvres c’est qu’il mentait. Démonstration indubitable d'un art oratoire maîtrisé, sachez maintenant, qu’à la fois et aisément, il puisse le faire tout aussi vulgairement. .
"Je serai là". .Pour la plupart des gens, il est rassurant de savoir pouvoir compter sur des appuis et/ou du réconfort en cas d’éventuels coups durs ou d'épreuves dans la vie.
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"Je serai là", me répéta-t-il d'un ton ferme et avec insistance.
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"Je serai là". Je, c’est Me François Viau, avocat & associé chez Gowling Lafleur Henderson s.r.l.
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Ne vous méprenez pas. Parce qu’en ce matin du 17 novembre 2006, les paroles exactes ainsi que le contexte dans lequel cette phrase a été prononcée était le suivant ;
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Avant le début de l’audience, Me Viau et moi étions en retrait hors de la salle de Cour. Il me mentionna qu’il était sur le point de gagner la cause et que je demeurerais avec une dette financière importante. Il me présenta alors une offre de règlement. Une nouvelle. En fait, une troisième depuis le début des procédures.
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Nouveau refus retentissant de ma part. "M. Bédard, vous êtes prêt à prendre ce risque et de vous voir dans l’obligation de déclarer faillite". LE "Je serai là" prit tout son sens à ce moment. "Je serai présent à l’étape de l’assemblée des créanciers et à chaque fois que je le pourrai afin de m’assurer que tu en baves tout au long du processus et au delà". Puis parlant de mon bloggue "J'ai plein d'avocats au cabinet spécialisés en diffamation qui n'attendent que cela te rentrer dedans".
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De l’intimidation. De cette façon, répondait-il à une ultime commande de la Banque Nationale du Canada pour tenter une nouvelle fois de me casser ? Ce qui n'avait été qu'insuccès au cours des 27 derniers mois. Agissait-il à ce moment de son propre chef suivant des méthodes de négociation habituelles ? Je ne sais pas. Devrais-je également comprendre de ces paroles que mon intégrité physique serait menacé en cas de refus dudit règlement ? .Autant de questions.
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Si vous êtes un lecteur assidu, vous savez déjà que par le passé j'ai accepté, de subir le test du polygraphe à 2 reprises déjà. Une première le 12 août 2004 à la demande de la Banque Nationale du Canada. La seconde, le matin du 15 septembre 2004 alors que le service de police de la Ville de Québec (SPVQ) effectuait une descente à mon domicile. .À nouveau, et pour une 3ème fois, je réitère mon acceptation concernant ces derniers écrits ou touts autres faits rapportés dans ce bloggue. .Il y a d'autre volontaire ?