19 mars 2008

Dernières nouvelles...

Après la médiatisation de l’histoire par plusieurs journalistes et animateurs, le monde de l’édition s’y est intéressé à son tour. La possibilité d’un livre à paraître s’offre et ainsi raconter le récit de l’histoire de ses débuts. Qui sait, peut-être un téléfilm pourrait s’inscrire dans une suite logique.

Ayant été relevé du constat de forclusion, par requête devant un banc de trois (3) juges de la Cour d’Appel du Québec, le nouveau délai de production du mémoire de l’Intimé avait été fixé au 28 janvier 2008. C’est cette même journée qu’après avoir été dûment signifié il a été déposé au greffe de la Cour d’Appel.

La date d’audition de la cause est maintenant connue. Ce sera le jeudi 20 mars 2008 à 9h30, en salle 4.33 du palais de justice de Québec que l’Appel sera entendue devant le banc de trois (3) juges à savoir les honorables Pierrette Rayle, Yves-Marie Morissette et Julie Dutil.

Une action pour Dommages Intérêts au montant de Cinq (5) millions de dollars sera déposée, sous peu, à l’encontre de la Banque Nationale du Canada, son président et chef de la direction M. Louis Vachon, M. Gilles Lavergne de la sécurité de la Banque Nationale du Canada de même que Mme Manon Alain commis sénior au moment des évènements qui ont donné lieu à toute la saga.

La Banque Nationale du Canada a vendu son cimetière de Nassau. En effet, la National Bank of Canada International Limited (NBCIL) a été vendue. Le Centre d'analyse des opérations et déclarations financières du Canada (CANAFE) & la Drug Enforcement Administration (DEA) disposeront bientôt de toute l’information concernant les transactions bancaires secrètes outre-mer (offshore) intervenues entre la Banque Nationale du Canada et la National Bank of Canada International Limited (NBCIL) située aux Bahamas. Des milliers de transactions bancaires, couvrant une période de vingt (20) ans, effectuées par des centaines de clients canadiens et d’autres nationalités pourront ainsi être analysées. Ce faisant, l’opération pourrait permettre de mettre au jour des cas d’évasion fiscale, de fraude fiscale, de blanchiment d’argent ou le suivi de transactions sur le papier commercial adossé aux actifs.


Toutes les protubérances ne sont pas des couilles.