01 janvier 2007

Des Vœux pour 2007…

Qui se souvient du nom du gardien de but contre qui le numéro 99 Wayne Gretsky a enfilé son 500ème but et en quelle année? Personne !
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Par ce rappel des faits du début, je voulais démontrer que, tôt ou tard, même après avoir frappés l’imaginaire collectif, quel qu’ils soient, les exploits, retournent tous dans l’oubli.
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Que le temps fasse son œuvre, voici la Grâce que je souhaite à la fois à la Banque Nationale du Canada, ses procureurs Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l. et l'avocat associé au dossier Me François Viau. À ce dernier, tout particulièrement, dès son retour au bureau le 8 janvier prochain, de remonter en selle rapidement car nous nous retrouverons bientôt, cette fois, pour débattre, de ma poursuite en Dommages Intérêt à l’encontre de la Banque Nationale du Canada. De même qu’après une rafle, de l’Agence des douanes et du revenu du Canada, il pourrait également hériter du dossier des clients de la Banque Nationale du Canada qui déçus du système offshore de la National Bank of Canada (International) Limited des Bahamas et de sa perméabilité pourraient bien entamer un recours collectif contre la Banque Nationale du Canada qui les aura, auront-ils à ce moment constaté, sacrifié et abandonné.
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Quoi ? Quoi le 22 novembre 1986. Ce soir là, Gretsky et ses Oilers d’Edmonton affrontaient l’équipe des Canucks de Vancouver. Le gardien de but des Canucks qui en était à sa première partie dans la ligue nationale de hockey était Troy Gamble. À l’autre bout de la patinoire, le filet des Oilers était défendu par Andy Moog. Dans un match remporté 5 à 2 au cour duquel Gretsky connu une soirée de 3 buts et 2 passes dont son 500ème but. En fait, il restait seulement que 18 secondes au cadran à la troisième période quand il devint le 13ème joueur de tous les temps de la ligue nationale à atteindre le plateau des 500 buts marqués. Dommage que Troy Gamble demeure encore aujourd’hui associé à cet évènement parce qu’en cette fin de partie il avait déjà rejoint son banc laissant sa place à un sixième attaquant et par conséquent le but vide derrière lui.
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Triste constat. Oubliez ce que j’ai pu affirmer en préambule. Les exploits fascinent et ils fascineront toujours. Il se trouvera toujours un plus malin qui, dans les 20, 30 ou 40 prochaines années, saura quelles parties en présence durant 2 jours de novembre 2006 les 16 et 17 auront alors, en Cour Supérieure devant l’Honorable Juge Paul Corriveau, en matière de droit bancaire, la Banque Nationale du Canada, ses procureurs Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l., l’avocat associé au dossier Me François Viau et le défendeur Jean Bédard s'étant représenté personnellement, auront participé à l’affaiblissement juridique du système bancaire canadien.
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BONNE ANNÉE !