19 janvier 2007

Le bureau du prochain président et chef de la direction à la Banque Nationale du Canada, M. Louis Vachon engagé dans une vendetta ?

La question est légitime…et de plus maintenant lancée.

Que le jugement de la Cour Supérieure du Québec, rendu par écrit le 18 décembre 2006, en ma faveur, constitut de la jurisprudence pour des décennies à venir, qu’il affaiblit juridiquement le système bancaire canadien, qu'il met en péril les activités bancaires offshore et les clients de la National Bank of Canada (International) Limited située aux Bahamas et qu’enfin, il coûtera des dizaines de millions de dollars en honoraires futurs non perçus dans le domaine de très haute expertise de droit Bancaire au cabinet d’avocats
Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l. et l'avocat associé au dossier Me François Viau. J’en avais pourtant prévenu ce dernier le 17 novembre 2006.

Après avoir perdu la cause de leur cliente en Cour Supérieure, ces derniers auraient-ils pactisés avec le bureau du prochain président et chef de la direction à la Banque Nationale du Canada, M. Louis Vachon, pour célébrer sa prochaine Installation et venger mon affront à l’avoir assigné à comparaître, afin d’offrir à ce dernier, pour tribut sur un plateau d’argent, la tête de Jean Bédard.

Chaud devant...la Pompe s'est remise à cracher le fric.
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