20 avril 2007

Fix it up...before it will be too late.

Il eût été lanceur au baseball que l’on aurait vu l’entraîneur s’en approcher, récupérer la balle de ses mains, échanger brièvement quelques mots avec lui et lui tapoter les fesses en guise de signal pour qu'il se dirige vers les douches. Au même moment, un releveur se serait présenté au monticule pour la suite de la partie.

Il eût été gardien de but au hockey que l’on aurait vu l’entraîneur, en parfait équilibre, un pied sur le banc et l’autre sur la bande de la patinoire, le rappeler à lui, lui tapoter les fesses gentiment puis le confiner à un rôle de portier pour le reste du match. Un substitut aurait déjà pris place devant le filet.

Mais voilà, notre type n’est pas un athlète professionnel mais bien avocat. Bon le problème se pose, j’imagine, pour la Banque Nationale du Canada et
Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l.: Comment, bien qu’il ait merdé dans l’actuel dossier mais avant qu’il ne soit définitivement trop tard, lui retirer l'affaire sans pour autant ébranler sa confiance en lui et considérant le peu qu’il puisse encore avoir en cette cause. Que le droit lui apporte une certaine notoriété, soit. Que cette dernière lui soit acquise à ma remorque et lui appose l’étiquette de l’éternel perdant dans une cause qui fera jurisprudence, laissez-moi douter qu’il s’agit du rêve premier qu’il entretenait.

Parce que nous ne sommes pas dupe, force est de constater que plus de 13 années de pratique du droit ne l’ont pas préparé adéquatement à tout et manifestement pas à affronter quelqu’un comme moi. Épouvanter des personnes qui seraient impressionnables, passe encore, il sera toujours à la hauteur. Mais autrement.

Le matin du 17 novembre 2006, avant la reprise de la cause et l’arrivée de l’honorable juge Paul Corriveau, Me Viau m’a adressé ces quelques mots :

Me Viau « Bien dormi, M. Bédard »
J.B..« Très bien. Merci de vous en inquiéter Me Viau »
J.B..« J’espère ne pas vous avoir obligé à travailler trop tard, hier soir »
Me Viau « Non, même pas »

J’avais conclu de cet échange, qu’il avait possiblement profité de sa soirée et sa présence à Québec pour effectuer une visite familiale à sa sœur habitant Beauport. Il lui était loisible d’agir ainsi, rappelons-nous que Me Viau, dans sa réalité à lui, se disait victorieux encore quelques instants avant nos plaidoiries respectives. Et moi, respectant ses croyances, en grand accommodateur raisonnable, je n’allais certes pas lui péter sa bulle.

Maintenant, dites-moi. Nous en convenons tous, le jugement de première instance l’a déjà envoyé aux douches et puisque le spectre d’autres toges, noires et bien empesées, flotte tout autour, qui à ce stade ci, s’emploiera à lui faire comprendre que le gros bon sens lui commanderait de se retirer et de céder sa place à un autre avocat disons moins impliqué émotionnellement que Me Viau ne peut l’être.

Je sais ce que vous vous dites: Mais encore faut-il lui tapoter les fesses.

05 avril 2007

Attendrissant, tout de même.

Pathétique, croyez-moi ce l’était.
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Nous sommes le 17 novembre 2006. L'honorable Paul Corriveau, juge de la Cour supérieure vient de quitter la salle d'audience. Me Viau et moi échangeons une poignée de main. Voilà le moment situé.
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C'est à ce moment que Me Viau commence à m'expliquer la différence marquée entre l'obligation de moyen versus l'obligation de résultat. Des moyens, c'est certain, il en a. Des résultats, je vois que déjà il en doute. Lui qui, quelques instants auparavant encore, a tenté de m'intimider et de me terroriser en me menaçant de me réduire à la mendicité, quel revirement. Pathétique...
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Sans défense et démuni, il m’est apparu, à ce moment-là. J'avais de la peine en l’imaginant devoir se rapporter avec les dernières nouvelles, tel qu’il l’a fait par cellulaire tout au long de ces deux jours qu’a duré le procès. Lui qui affichait le triomphe facile, après avoir, à grand frais, sauvé les fesses de M. Louis Vachon, aujourd’hui prochain président et chef de la direction annoncé et confirmé à la Banque Nationale du Canada. Le voyage du retour vers Montréal s’annonçait pénible, force est de constater.
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Encore, certaine nuit, cette triste scène m’habite, me hante presque. D’avoir dû l’abandonner le 17 novembre 2006, lui qui, comme une peluche, aurait pu être enlacé et étreint tout en se faisant rassurer, vous savez du genre ne t’en fait pas, tout ira bien.
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Eh bien, cette journée-là, prisonnier d’un tas de convenances, j’en fût incapable.
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De retrouver Me Viau, le 3o avril en Cour d’appel du Québec sera, je m’imagine, comme baiser avec son ex. Sans grande surprise, peut-être agréable mais d’une excitation consommée. Enfin!

02 mars 2007

"Take a Kayak!"

L’éclatement prochain du scandale de l’argent illicite et la route empruntée entre le Canada et les Bahamas coûtera-t-il des postes à de hauts dirigeants à la Banque Nationale du Canada.
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De même, le travail des enquêteurs de la Division des enquêtes spéciales à l'Agence des douanes et du revenu du Canada freinera-t-il l’accession de M. Louis Vachon au poste de président et chef de la direction à la Banque Nationale du Canada.
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À ce chapitre, l'aveu de Me François Viau avocat associé au cabinet Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l., au matin du 16 novembre 2006, au moment du débat de sa requête en annulation du bref de subpoena, aura confirmé devant l'honorable juge Paul Corriveau l'exactitude de mes informations détenues concernant un compte bancaire secret et dont M. Vachon ne pourra nier ni l'existence ni la connaissance.

16 février 2007

Plainte au Bureau du syndic du Barreau du Québec.

En bonne et due forme, sous peu et aux motifs de "menaces et tentatives d'intimidation", je logerai une plainte auprès du syndic du Barreau du Québec.
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Je demanderai au syndic d'enquêter la conduite et les agissements d'un de ses membres soit l'avocat François Viau associé au cabinet Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l. Les faits reprochés se sont déroulés le 17 novembre 2006, matin du dernier jour de procès dans la cause Banque Nationale du Canada c. Jean Bédard CS Québec no. 200-17-005324-058.



Lire aussi ; I’ll be there….for you.

15 février 2007

Pourquoi bouder son plaisir.

À procès et confirmé par le jugement de la Cour Supérieure du Québec, "se les faire", tous à la fois et nommément, la Banque Nationale du Canada soit la première banque au Québec, ses procureurs Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l. soit le second cabinet d'avocats en importance au Canada reconnu depuis longtemps comme un chef de file en matière de litige bancaire ainsi que l'avocat associé au dossier Me François Viau spécialiste en litige bancaire comptant quatorze années d'expérience, je puis vous l'affirmer, "Ça vous fait une bite comme ça".
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Trève de préambule et vous annoncer que la décision Banque Nationale du Canada c. Jean Bédard CS.Québec.no.200-17-005324-058 est maintenant disponible, pour consultation ou téléchargement, dans sa version électronique sur le site Internet conjoint de la Société québécoise d'information juridique (SOQUIJ) et du ministère de la justice du Québec ;

09 février 2007

Mais où crèche donc Charlie ?

Possiblement avec la même ardeur, que pourrait le démontrer un couple de consanguin à copuler en région éloignée, les administrateurs siégeant au conseil d'administration et qui comme eux l'ont fait auparavant les bureaux du service de médiation et de l’ombudsman cautionnent les saloperies faites à la Banque Nationale du Canada. .En voici la liste publiée ;.
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JEAN DOUVILLE....ADMINISTRATEUR
612, CHEMIN PHILISBURG
BEDFORD (QUÉBEC) J0J 1A0

REAL RAYMOND....ADMINISTRATEUR & PRÉSIDENT
11, RUE O'REILLY APP 1102
VERDUN QC H3E 1T6

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LOUIS VACHON....ADMINISTRATEUR
120, BOULEVARD BEACONSFIELD
BEACONSFIELD (QUÉBEC) H9W 3Z7

MARC P. TELLIER....ADMINISTRATEUR
1915, BOUL. LAIRD
MONT-ROYAL (QUÉBEC) H3P 2V2

JEAN GAULIN....ADMINISTRATEUR
10, MERRIVALE PLACE
SAN ANTONIO (TEXAS) 78257
ÉTATS-UNIS

GÉRARD COULOMBE....ADMINISTRATEUR
243, CHEMIN SAINT-GUILLAUME
SAINTE-MARTHE (QUÉBEC) J0P 1W0

LAWRENCE S. BLOOMBERG....ADMINISTRATEUR
70 ARDWOLD GATE
TORONTO ON M5R 2W2

MARCEL DUTIL....ADMINISTRATEUR
88, AVENUE PAGNUELO
OUTREMONT (QUÉBEC) H2V 3C1

PIERRE BOURGIE....ADMINISTRATEUR
676, AV DUNLOP
OUTREMONT QC H2V 2W4

NICOLE DIAMOND-GELINAS....ADMINISTRATEUR
221, RUE ST-GEORGES
ST-BARNABÉ-NORD QC G0X 2K0

ROSEANN RUNTE....ADMINISTRATEUR
5000, EDGEWATER DRIVE
NORFOLK (VIRGINIA) 23508
ÉTATS-UNIS

PAUL GOBEIL....ADMINISTRATEUR
44, TUR BERLIOZ
VERDUN (QUÉBEC) H3E 1L9

BERNARD CYR....ADMINISTRATEUR
14, CROISSANT ANCHOR
CAP SHEDIAC (NOUVEAU BRUNSWICK) E4P 2Y6

SHIRLEY A. DAWE....ADMINISTRATEUR
119 CRESCENT ROAD
TORONTO ON M4W 1T8 .
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Autres documents à consulter;
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02 février 2007

Et si, tout comme la Banque Nationale du Canada, votre banquier se comportait comme une pute.

En quoi le Jugement Banque Nationale du Canada c. Jean Bédard CS Québec no. 200-17-005324-058 est-il si important pour tous les canadiens détenteurs d'un compte bancaire et constituera de la jurisprudence pour des décennies à venir ?
  1. Il limite la portée de la clause de compensation incluse à la "Convention de compte" à l'encontre de tous les déposants.
  2. Il définit, plus amplement, ce que sont la responsabilité et la faute grave de l'institution financière.
  3. Il sera bientôt confirmé par la plus haute Cour de justice de la province soit la Cour d'Appel du Québec.
Parce que, et peut-être l'ignorez-vous, tous les détenteurs d’un compte dans une institution financière, tel une banque ou une caisse populaire, ont signé au moment de l'ouverture dudit compte un document similaire à la convention présentée ci bas et exprimant sensiblement les mêmes inclusions juridiques.
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À sa lecture, portez bien attention à la clause énoncée au point numéro 2. C’est fort de sa justification, qu’un jour votre banquier se pointera, marchera sur la pointe des pieds pour ne pas éveiller les soupçons et plongera ses mains dans vos poches avant de se pousser avec tout votre argent...tel une pute vous disais-je.
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26 janvier 2007

Si une photo vaut mille mots...

.........................................PHOTO JEAN-FRANÇOIS DESGAGNÉS
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Assurément, celle ci coûte déjà des millions de dollars à la Banque Nationale du Canada et ses procureurs Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l. .De plus, elle signifie de sombres jours à venir pour la National Bank of Canada (International) Limited - NBCIL située à Nassau, Bahamas.
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Et c'est pas fini.

25 janvier 2007

Nemo legem (jus) ignorare censetur.

"Nul n’est censé ignorer la loi" c'est bien connu. .
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Nul justification, je ne saurais trouver, dans ce cas, de ne pas annoncer la Bonne Nouvelle de l'arrivée de ce tout dernier jugement, qui fera office de Jurisprudence pour les prochaines décennies et ce, à tous les cabinets et avocats ayant le Droit Bancaire comme champs d'expertise. .Ce qui fût fait.


From: Off Shore Financial Services [mailto:offshore@videotron.ca]
Sent: Monday, January 15, 2007 7:07 PM
To: 'jfboisvenu@mccarthy.ca'; 'mjphelan@mccarthy.ca'; 'jffortin@mccarthy.ca'; 'pdleroux@mccarthy.ca'

Subject: Salutations...Jugement de droit bancaire.


Me Boisvenu,
Me Phelan,
Me Fortin,
Me Leroux,


Votre cabinet et vous seriez avisés de surveiller attentivement, il se pourrait fort bien qu’avant longtemps la Banque Nationale du Canada se cherche un nouveau cabinet d’avocats conseils.

D’ici là, je vous transmets mes salutations ainsi que le lien ci bas vers le dernier jugement en droit bancaire datant du 18 décembre 2006 ;

BNC c. Jean Bédard CS Québec no. 200-17-005324-058



Bonne journée.

Jean Bedard, principal owner
Off Shore Financial Services (Canadian Firm).

(418) 243-1337
.
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From: Off Shore Financial Services [mailto:offshore@videotron.ca]
Sent: Monday, January 15, 2007 6:51 PM
To: 'mbarbeau@stikeman.com'; 'sdietze@stikeman.com'; 'dkoumanakos@stikeman.com'; 'jlamothe@stikeman.com'; 'bmenard@stikeman.com'
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Subject: Salutations...Jugement de droit bancaire.


Me Barbeau,
Me Dietze,
Me Koumanakos,
Me Lamothe,
Me Ménard,

Votre cabinet et vous seriez avisés de surveiller attentivement, il se pourrait fort bien qu’avant longtemps la Banque Nationale du Canada se cherche un nouveau cabinet d’avocats conseils.

D’ici là, je vous transmets mes salutations ainsi que le lien ci bas vers le dernier jugement en droit bancaire datant du 18 décembre 2006 ;

BNC c. Jean Bédard CS Québec no. 200-17-005324-058



Bonne journée.

Jean Bedard, principal owner
Off Shore Financial Services (Canadian Firm).

(418) 243-1337
.
.
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From: Off Shore Financial Services [mailto:offshore@videotron.ca]
Sent: Monday, January 15, 2007 6:45 PM
To: 'jdemers@ogilvyrenault.com'; 'afleming@ogilvyrenault.com'
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Subject: Salutations...Jugement de droit bancaire.


Me Demers,
Me Fleming,


Votre cabinet et vous seriez avisé de surveiller attentivement, il se pourrait fort bien qu’avant longtemps la Banque Nationale du Canada se cherche un nouveau cabinet d’avocats conseils.

D’ici là, je vous transmets mes salutations ainsi que le lien ci bas vers le dernier jugement en droit bancaire datant du 18 décembre 2006 ;

BNC c. Jean Bédard CS Québec no. 200-17-005324-058



Bonne journée.

Jean Bedard, principal owner
Off Shore Financial Services (Canadian Firm).

(418) 243-1337

19 janvier 2007

Le bureau du prochain président et chef de la direction à la Banque Nationale du Canada, M. Louis Vachon engagé dans une vendetta ?

La question est légitime…et de plus maintenant lancée.

Que le jugement de la Cour Supérieure du Québec, rendu par écrit le 18 décembre 2006, en ma faveur, constitut de la jurisprudence pour des décennies à venir, qu’il affaiblit juridiquement le système bancaire canadien, qu'il met en péril les activités bancaires offshore et les clients de la National Bank of Canada (International) Limited située aux Bahamas et qu’enfin, il coûtera des dizaines de millions de dollars en honoraires futurs non perçus dans le domaine de très haute expertise de droit Bancaire au cabinet d’avocats
Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l. et l'avocat associé au dossier Me François Viau. J’en avais pourtant prévenu ce dernier le 17 novembre 2006.

Après avoir perdu la cause de leur cliente en Cour Supérieure, ces derniers auraient-ils pactisés avec le bureau du prochain président et chef de la direction à la Banque Nationale du Canada, M. Louis Vachon, pour célébrer sa prochaine Installation et venger mon affront à l’avoir assigné à comparaître, afin d’offrir à ce dernier, pour tribut sur un plateau d’argent, la tête de Jean Bédard.

Chaud devant...la Pompe s'est remise à cracher le fric.
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16 janvier 2007

Procédure Amendée de la Banque Nationale du Canada.

À moins de 48 heures du procès, soit le 14 novembre 2006, voici la procédure amendée qui m'a été signifiée.
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La lecture de cette dernière permet d'apprendre que c'est finalement 100,000.$ de plus que ce que j'affirmais dans mon texte intitulé "Blanchir ½ million de dollars. On peut vous aider." soit la somme totale de 600,000.$ qu'on aura tenté de faire disparaître...
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À quel profit ?..Une certaine justification à de récents départs annoncés à la haute direction à la Banque Nationale du Canada ?..La question est lancée.
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Nouveau Bloggue ;
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12 janvier 2007

Requête en Annulation d’un Bref de subpoena à M. Louis Vachon, président et chef des opérations à la Banque Nationale du Canada.


Suite à ma procédure au coût de 47.58$ pour assigner M. Louis Vachon, président et chef des opérations à la Banque Nationale du Canada, consultez la requête en Annulation d'un Bref de Subpoena, présentée à grands frais, pour lui sauver les fesses.
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De là à en conclure que pour les procureurs de la Banque Nationale du Canada soit Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l. et l'avocat-associé au dossier Me François Viau l'estimation marchande qu'ils font d'un manque cruel de COURAGE, se monte à 100,000.$, il n'y a qu'un pas.
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Nouveau Bloggue ;
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09 janvier 2007

Over The Rainbow.

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Déambulant maintenant ensemble, ils y croisèrent l'Avocat qui, lui, était en quête de RECONNAISSANCE. Constatant le manque de RAISON de la Préposée, c'est vers l'Enquêteur qu'il se tourna. Elle m'a raconté son histoire mais c'est déjà vague à mon esprit, trompetta-t-il. Perspicace, l'Avocat remarqua rapidement sa MÉMOIRE défaillante et le lui fit remarquer. Ça ira, claironna-t-il, nous pallierons à votre état en établissant un affidavit écrit y consignant tout de vos souvenirs concernant cette affaire. Flairant le bon filon, lui et son cabinet, contre paiement d'honoraires de ¾ de million s’enquiquineraient à leurs nouveaux amis et participeraient maintenant à la battue.
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S'en suivit, un long, périlleux et tortueux périple. Ce n'est qu'en toute fin de parcours qu'ils firent la rencontre du Président. Le Président, maintenant que tous avaient remarqué, depuis le 10 novembre 2006, son manque de COURAGE, supplia l'Avocat de lui sauver les fesses. Je ferais n'importe quoi pour ne pas me retrouver en présence du magicien d'Host Klaxonna-t-il. Vous affirmer que je doive me rendre à Toronto par affidavit assermenté vous suffirait-il pour en convaincre la magistrature? Il fut décidé, qu'à tout prix et sans égard aux frais encourus, le coup se devait d'être tenté.
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D'Host. C'était le diminutif d'Hostie, pensez-vous. C'est en raison de ses nombreux tours qu'à la Banque Nationale du Canada et au cabinet de Gowling, Lafleur, Henderson srl. on le sacra de ce sobriquet. Si bien que la coutume et l'usage l’emportèrent rapidement sur l'état civil. Parce qu'ils étaient plusieurs à vouloir le rencontrer et ainsi, pensaient-ils, combler en plus de leur coffre, leurs lacunes personnelles et justifier leurs viles existences.
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Mais Host n’était pas Homme de Paille et c’est ainsi que tous devaient se retrouver devant l'Honorable Juge Paul Corriveau. Ce dernier, appréciant témoignages et représentations rendus et faites devant lui, rendit ce que l’Avocat disait que sa cliente était en droit d’obtenir et réclamait. .JUGEMENT.
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Ainsi, s’achève toute ressemblance avec l'histoire fantastique du magicien d'Oz. Parce que c’est désenchanté, pensez-vous, que tous revinrent de l’expédition. On n'entendit plus jamais parler de l'ex Directeur. Quant à la Préposée, se trouvait elle en congé de maternité après tout la Banque, l'Enquêteur ainsi que l'Avocat, au cours de l'audience, tous, lui avait fait un enfant dans le dos.
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C'est uniquement pour vous sensibiliser et vous encourager au don d'organes que je vous ai raconté ce conte. Il nous rappelle, à quel point il est important, comme je l'ai fait moi-même et tel que je vous le présente ci bas, à signer le consentement situé à l'endos de votre carte d'assurance maladie. Et peut-être, pourquoi pas, comptant sur une percée et l'avancé de la médecine, un même et seul individu, le jour venu, pourrait en plus de devenir donneur d’organes et de tissus faire cadeau également de sa ;
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RAISON, MÉMOIRE, RECONNAISSANCE et de son COURAGE.
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À ma postérité, vous savez maintenant comment et à qui les distribuer. Parce qu’aussi, tout au long de l'histoire, ils étaient nombreux à vouloir un petit morceau du magicien d'Host à commencer par des avocats dont l'un ne trouvant pas le début du récit assez enivrant, selon une source proche et fiable, préférait sa propre ivresse. Quant au dernier en liste, j'aimerais, qu'on lui adresse, en plus de mes couilles, mes salutations sincères.
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Et tant qu'à y être...voilà...distribution d'une bonne dose d'envergure à chacun d'entre eux. Il y en aura bien assez pour tous.

01 janvier 2007

Des Vœux pour 2007…

Qui se souvient du nom du gardien de but contre qui le numéro 99 Wayne Gretsky a enfilé son 500ème but et en quelle année? Personne !
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Par ce rappel des faits du début, je voulais démontrer que, tôt ou tard, même après avoir frappés l’imaginaire collectif, quel qu’ils soient, les exploits, retournent tous dans l’oubli.
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Que le temps fasse son œuvre, voici la Grâce que je souhaite à la fois à la Banque Nationale du Canada, ses procureurs Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l. et l'avocat associé au dossier Me François Viau. À ce dernier, tout particulièrement, dès son retour au bureau le 8 janvier prochain, de remonter en selle rapidement car nous nous retrouverons bientôt, cette fois, pour débattre, de ma poursuite en Dommages Intérêt à l’encontre de la Banque Nationale du Canada. De même qu’après une rafle, de l’Agence des douanes et du revenu du Canada, il pourrait également hériter du dossier des clients de la Banque Nationale du Canada qui déçus du système offshore de la National Bank of Canada (International) Limited des Bahamas et de sa perméabilité pourraient bien entamer un recours collectif contre la Banque Nationale du Canada qui les aura, auront-ils à ce moment constaté, sacrifié et abandonné.
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Quoi ? Quoi le 22 novembre 1986. Ce soir là, Gretsky et ses Oilers d’Edmonton affrontaient l’équipe des Canucks de Vancouver. Le gardien de but des Canucks qui en était à sa première partie dans la ligue nationale de hockey était Troy Gamble. À l’autre bout de la patinoire, le filet des Oilers était défendu par Andy Moog. Dans un match remporté 5 à 2 au cour duquel Gretsky connu une soirée de 3 buts et 2 passes dont son 500ème but. En fait, il restait seulement que 18 secondes au cadran à la troisième période quand il devint le 13ème joueur de tous les temps de la ligue nationale à atteindre le plateau des 500 buts marqués. Dommage que Troy Gamble demeure encore aujourd’hui associé à cet évènement parce qu’en cette fin de partie il avait déjà rejoint son banc laissant sa place à un sixième attaquant et par conséquent le but vide derrière lui.
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Triste constat. Oubliez ce que j’ai pu affirmer en préambule. Les exploits fascinent et ils fascineront toujours. Il se trouvera toujours un plus malin qui, dans les 20, 30 ou 40 prochaines années, saura quelles parties en présence durant 2 jours de novembre 2006 les 16 et 17 auront alors, en Cour Supérieure devant l’Honorable Juge Paul Corriveau, en matière de droit bancaire, la Banque Nationale du Canada, ses procureurs Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l., l’avocat associé au dossier Me François Viau et le défendeur Jean Bédard s'étant représenté personnellement, auront participé à l’affaiblissement juridique du système bancaire canadien.
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BONNE ANNÉE !