Traite bancaire de US$1,5 million, mandat de perquisition du SPVQ conjointement avec la GRC, sasie de documents, acceptation de subir le test du polygraphe à 2 reprises, saisie d’une Lamborghini, enquête criminelle de 6 mois, 15 heures d'interrogatoire pour 3 rencontres, poursuite civile n° 200-17-005324-058 de $777,000., Assignation du Président de la BNC, Jugements de la Cour Supérieure et de la Cour d'Appel du Québec en ma faveur, sont parmi les faits se rapportant à cette saga.
23 décembre 2006
Jour de Jugement...Hasta la vista, Baby.
15 décembre 2006
La genèse...ou La traite bancaire et son parcours pas à pas.
14 décembre 2006
Mais où est donc passé la traite bancaire de US$1,500,000. ?
Invraisemblable. Impossible. Je sais. À vous aussi tout ceci devrait apparaître comme étant tout simplement incroyable. Suite au dépôt de la traite bancaire au montant de US$1,5M, la banque n'avait en main ni photocopie, ni image numérisée de cette dernière. US$1,5M et que des écritures comptables. Rien d'autre. J'en fût le premier surpris. Estomaqué.
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Lors d'une conversation téléphonique avec madame Manon Alain elle me demanda si je pouvais fournir mes documents à la banque Nationale du Canada en lui faisant parvenir à elle même par courriel. Je recopie donc ici-bas, le message que j'ai transmis à madame Alain auquel était joint une image numérique de la traite et ce recto & verso. La dernière partie montre l'accusé réception émis par le système informatique de la Banque Nationale du Canada et que j'ai reçu en confirmation à mon message.
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From: Off Shore Financial Services (Canadian Firm).
[mailto:
Sent: Tuesday, August 10, 2004 6:23 PM
To: 'succursale.10651@bnc.ca'
Subject: À l'attention de Mme Manon Alain
Importance: High
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Madame Alain,
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Pour faire suite à notre discussion téléphonique de ce jour, veuillez trouver en attaché l’image (recto & verso) de la traite bancaire.
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Jean Bedard, principal owner
Off Shore Financial Services (Canadian Firm).
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Return Receipt
Your document: ....À l'attention de Mme Manon Alain
was received by: ...Succursale 1065-1/SUCC/BNC
at: .......................08/10/2004 06:38:16 PM
12 décembre 2006
US$594 000. Total des transferts électroniques effectués le 5 août 2004. (1 de 2)
Nul besoin d’attirer longtemps votre attention sur le fait que, la Banque Nationale du Canada, son procureur Me François Viau, avocat & associé chez Gowling Lafleur Henderson s.r.l. et M. Gilles Lavergne l’enquêteur et représentant légal de la Banque en cette affaire, personne n’a présenté ce document ni lors du dépôt des pièces jointes au soutien de l’action de $777 074.88 ni au cours du procès tenu les 16 et 17 novembre dernier.
06 décembre 2006
Breaking news
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An English version of the actual Blog has been launch ;
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What they do not want you and Revenue Canada never knew about. All their secrets reveal.
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............BEWARE, KNOWING IS AT YOUR OWN RISK.
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05 décembre 2006
01 décembre 2006
National Bank of Canada (International) Limited - NBCIL des Bahamas.
- " CLIENT PROFILE"
- " CUSTODY & CURRENT ACCOUNT AGREEMENT"
- " TRADING AUTHORIZATION"
Berné 8 fois plutôt qu'une...par la Banque Nationale du Canada.
1......Le 3 août 2004 lorsqu'en succursale Mme Alain m'avait affirmé que je pouvais transiger dès lors et sans problème suivant le dépôt effectué de la traite bancaire de US$1,5M ;
30 novembre 2006
Nota Bene aux constituants de "ma" cellule de crise.
Merci et bon congé.
Jean Bédard
À paraître bientôt ;
Documents d’incorporation (2 de 2) International Business Corporation (IBC) à la National Bank of Canada (International) Limited - NBCIL des Bahamas.
Berné 8 fois plutôt qu'une...par la Banque Nationale du Canada.
Les fesses du président et chef des opérations à la Banque Nationale du Canada, M. Louis Vachon.
Ainsi, il a été affirmé solennellement par M. Louis Vachon lui même que c'est Me Éric Laflamme, avocat Président et chef de la direction de Trust Banque Nationale qui est responsable des relations entre Banque Nationale du Canada et National Bank of Canada (International) Limited des Bahamas - (NBCIL). Avocat de formation depuis 1984, ce dernier, peu avant l'arrivée du nouveau millénaire aurait séjourné et habité les Bahamas. À cette époque où les bureaux de la NBCIL étaient situés sur Charlotte Street, Me Éric Laflamme occupait la fonction de Vice-président Administration à la National Bank of Canada (International) Limited de Nassau aux Bahamas.
J'imagine que les questions et actions prochaines de messieurs Tremblay et Demers, enquêteurs à la Division des enquêtes spéciales à l'Agence des douanes et du revenu du Canada seront dirigées vers Me Laflamme.
Et ce, bien entendu, si ce dernier, n'est pas, comme l'ont été avant lui, madame Manon Alain et monsieur Jacques Castonguay, déplacé et caché dans les dédales de cette grande organisation qu'est la Banque Nationale du Canada. Vous savez tout comme le faisait Amélie Poulin avec les nains de jardin de chez son père.
Subpoena duces tecum à M. Louis Vachon
ANNEXE A - Subpoena duces tecum à M. Louis Vachon
29 novembre 2006
"Adrienne" ! "Adrienne" !
Inclure cette référence au film Rocky me semblait rigolo. Approprié certainement, comme vous serez à même de le constater très bientôt.
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Vendredi. 17 novembre 2006. 10h30. Les plaidoiries des parties sont terminées et les pugilistes se retirent chacun dans leur coin le temps que monsieur le juge quitte sa salle en annonçant prendre la cause en délibéré.
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Je ramasse mes documents et les place à l’intérieur de ma valise. Je quitte à mon tour en m’adressant aux personnes encore présentes soit Me François Viau, M. Gilles Lavergne et la greffière lançant un "Bonjour et bon weekend à tous".
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Moins de 10 mètres parcourus hors de la salle de Cour, je tourne les talons et je retourne dans l’enceinte et me dirige d’un pas décidé vers Me François Viau lui tendant la main en lui disant "Me Viau, ce fut un plaisir" et posant le même geste cette fois envers M. Lavergne une poignée de main et le saluant simplement "M. Lavergne".
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Et là, je quittai à nouveau la tête haute et fier de moi. Il ne pouvait en être autrement.
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Aznavour dans sa chanson "Il faut savoir"….. il y chante qu’il faille savoir quand quitter la table…la façon de la quitter avec manières et distinction me paraît, quant à moi, tout aussi importante.
28 novembre 2006
Le cul sur la glace
Il s’agit ici, vous l’aurez compris, d’une figure de style faisant état de la mauvaise ou si vous préférez de la fâcheuse position où se retrouve l’une ou l’autre des parties en présence lors d’une audience à la Cour. Inutile de vous préciser que ce genre d'observation évocatrice se fait à l'insu du décorum présent à la Cour supérieure du Québec. Cependant, les ajournements sont de bons moments pour tabler sur l'ébranlement que pareille remarque peut provoquer à la confiance de l'autre partie.
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Toujours est-il qu'elle me vient de Me François Viau, avocat & associé chez Gowling Lafleur Henderson s.r.l.
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Eh bien, le 17 novembre 2006. Dernier matin du procès. L’expression "Le cul sur la glace" a été mentionnée à deux (2) reprises.
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En quelle circonstance ? Par qui ? Dans quel ordre surtout ? Toutes ces questions trouveront très bientôt réponses.
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Tout comme vous, très certainement, j’avais entendu dire que lorsqu’un avocat remuait les lèvres c’est qu’il mentait. Démonstration indubitable d'un art oratoire maîtrisé, sachez maintenant, qu’à la fois et aisément, il puisse le faire tout aussi vulgairement. .
27 novembre 2006
Honoraires de 450.$ l'heure facturés à la "Pompe".
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1......"Me Viau, votre cliente a certainement dépensé beaucoup plus de $10 000. et ce dans la seule dernière semaine". "Et 500 000.$ (½ million de dollars) dans toute cette aventure".
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2......"Me Viau, en cas de défaite, votre bureau et vous risquez de perdre un client (lire Banque Nationale du Canada) qui doit rapporter, en honoraires, selon moi, entre 3 et 5 millions de dollars annuellement".
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Aucun de ces chiffres n'a été contesté par Me Viau.
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De retour chez Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l., et dans le cas qui nous occupe, à partir du bassin de leur centaine de personnes spécialistes dans les relations avec les médias formez un groupe qui sera au fait de tous les gestes et actions d’un individu ou groupe trouble fête. Et bien, sachez que cette cellule de crise existe bel et bien et qu’au surplus, ces braves personnes me sont entièrement dévouées. .Que d’attention. .Vraiment.
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Bien évidemment, ma proposition de subir le test du polygraphe tient toujours.
24 novembre 2006
I’ll be there….for you.
"Je serai là". .Pour la plupart des gens, il est rassurant de savoir pouvoir compter sur des appuis et/ou du réconfort en cas d’éventuels coups durs ou d'épreuves dans la vie.
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"Je serai là", me répéta-t-il d'un ton ferme et avec insistance.
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"Je serai là". Je, c’est Me François Viau, avocat & associé chez Gowling Lafleur Henderson s.r.l.
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Ne vous méprenez pas. Parce qu’en ce matin du 17 novembre 2006, les paroles exactes ainsi que le contexte dans lequel cette phrase a été prononcée était le suivant ;
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Avant le début de l’audience, Me Viau et moi étions en retrait hors de la salle de Cour. Il me mentionna qu’il était sur le point de gagner la cause et que je demeurerais avec une dette financière importante. Il me présenta alors une offre de règlement. Une nouvelle. En fait, une troisième depuis le début des procédures.
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Nouveau refus retentissant de ma part. "M. Bédard, vous êtes prêt à prendre ce risque et de vous voir dans l’obligation de déclarer faillite". LE "Je serai là" prit tout son sens à ce moment. "Je serai présent à l’étape de l’assemblée des créanciers et à chaque fois que je le pourrai afin de m’assurer que tu en baves tout au long du processus et au delà". Puis parlant de mon bloggue "J'ai plein d'avocats au cabinet spécialisés en diffamation qui n'attendent que cela te rentrer dedans".
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De l’intimidation. De cette façon, répondait-il à une ultime commande de la Banque Nationale du Canada pour tenter une nouvelle fois de me casser ? Ce qui n'avait été qu'insuccès au cours des 27 derniers mois. Agissait-il à ce moment de son propre chef suivant des méthodes de négociation habituelles ? Je ne sais pas. Devrais-je également comprendre de ces paroles que mon intégrité physique serait menacé en cas de refus dudit règlement ? .Autant de questions.
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Si vous êtes un lecteur assidu, vous savez déjà que par le passé j'ai accepté, de subir le test du polygraphe à 2 reprises déjà. Une première le 12 août 2004 à la demande de la Banque Nationale du Canada. La seconde, le matin du 15 septembre 2004 alors que le service de police de la Ville de Québec (SPVQ) effectuait une descente à mon domicile. .À nouveau, et pour une 3ème fois, je réitère mon acceptation concernant ces derniers écrits ou touts autres faits rapportés dans ce bloggue. .Il y a d'autre volontaire ?
Derniers développements dans l'histoire du Saguenéen Martin Tremblay.
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¹ National Bank of Canada (International) Limited ou NBCIL – entité offshore des Bahamas détenue et opérée par la Banque Nationale du Canada.
23 novembre 2006
Coût total de l'opération 47.58$
1 rapport de signification.............11.10$
1 envoi Xpress post à Montréal........7.99$
J'ai toujours considéré le bonheur comme étant une succession de beaux moments. Mais là, observer pendant 3 heures un brillant et talentueux avocat déployer tout l'arsenal pour sauver les fesses de sa cliente.
Ça c'était du pur délice.
21 novembre 2006
2 méprises valent mieux que...2 prises.
19 novembre 2006
Dimanche matin...repos et musique.
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J'écoute Espace musique à la radio musicale de Radio-Canada qui diffuse de la belle musique en ce dimanche, Classique en ce moment, jazz les soirs de semaine, jazz les weekends en soirée. J'aime écouter de la musique et j'aime le jazz. Je préfère, pour la variété, la radio au CD d'un seul artiste. Au contraire, Isabelle Boulay, que je trouve hyper jolie, je vous mentionne ça au passage, je peux facilement écouter tout son album. La parution de "Mieux qu'ici-bas" remonte déjà à l'an 2000.
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Elle change pas Isabelle Boulay, c'est toujours aussi bon à l'écoute. Elle change pas Isabelle Boulay, les gens en général ne changent pas. J'écoute sa chanson Jamais assez loin. Vous savez c'est celle où...je vous reproduis quelques extraits dont le début de la chanson...toujours pas de souvenirs, la mémoire vous reviendra ;
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Cette vieille valise qui vit près de ma porte,
Égratignée de toutes nos aventures,
Avec ses étiquettes des pays qu'on transporte,
Dessinant le parcours de notre histoire.
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Chaque nuit dans mon insomnie sauvage,
C'est comme si je l'entendais chuchoter.
Comme si elle me parlait avec tes mots
Devenus sourds tellement qu'ils sont usés.
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Tous les trains,
Tous les bateaux,
Tous les avions
Ne m'emmèneront
Jamais assez loin
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â l'âge que j'ai, je veux voyager léger.
Aucune amarre pour m'empêcher de partir.
Rien à déclarer et rien pour m'alourdir.
Comme cette vieille valise remplie de souvenirs.
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Les gens changent pas. Dans mon cas, j'ai jamais su voyager léger. Mais vous savez quoi, j'ai jamais trouvé que j'en emportais trop avec moi. Et, j'aime avoir tout sous la main. Les gens changent pas. M. Lavergne, l'enquêteur, par exemple, il ne change pas. Il s'est présenté à la Cour et ressemblait en tout point à ce que je me souvenais de lui lors notre rencontre de 90 minutes du 11 août 2004. Sinon, qu'il n'avait que très peu d'effets apportés de Montréal avec lui pour les 2 ou 3 jours que durerait son séjour à Québec.
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Les gens changent pas. Je le croyais. À ce moment, à la Cour le 16 en fin de journée, au moment de son témoignage en fait, le souvenir de son interrogatoire mené à mon endroit et où, à chacune de mes affirmations il me confrontait avec un nouveau document tout droit sorti de son immense valise posée sur la crédence dans le bureau du directeur de la succursale M. Castonguay. Tout y était. Tout, depuis ma première journée de relation d'affaires avec la Banque Nationale du Canada. Enquête de crédit, courriels, demandes, formulaires. Tout. Et il savait exactement ce qu'il y puiserait et où il l'avait classé. Il m'avait démontré à plus d'une reprise qu'il connaissait très bien son contenu. Une pleine valise, et quelle mémoire.
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Les gens changent pas. M. Lavergne lui semble avoir changé. Pas en raison de l'âge parce qu'après une carrière de policier le voilà en menant une seconde comme enquêteur à la Banque Nationale du Canada. Mais je le crois, aujourd'hui, en mesure de voyager léger.
À la mémoire "sélective" de M. Gilles Lavergne, enquêteur et représentant dûment autorisé de la Banque Nationale du Canada.