23 décembre 2006

Jour de Jugement...Hasta la vista, Baby.

Titre évocateur, s'il en est un. Vous l'aurez deviné, à sa simple lecture, l'Honorable juge Paul Corriveau de la Cour Supérieure du Québec a rendu son jugement. Attendu. Très même.
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Tel au réveil, un matin de 25 décembre, c'est au pied d'un résineux décoré que j'aurais pu le trouver. C'est pourtant quelques jours à l'avance et dans ma boîte de courrier, rouge comme aurait pu être vêtu un messager annuel de saison, que je l'ai cueilli. À sa lecture, vous aussi trouverez, qu'il n'aurait pas détonné, posé parmi des présents, tellement il est bien ficelé.
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Je vous dévoile ici ses conclusions. L'intégral du jugement, comportant pas moins de 16 pages, peut-être consulté en suivant l'hyper lien ci bas ;
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15 décembre 2006

14 décembre 2006

Mais où est donc passé la traite bancaire de US$1,500,000. ?

Invraisemblable. Impossible. Je sais. À vous aussi tout ceci devrait apparaître comme étant tout simplement incroyable. Suite au dépôt de la traite bancaire au montant de US$1,5M, la banque n'avait en main ni photocopie, ni image numérisée de cette dernière. US$1,5M et que des écritures comptables. Rien d'autre. J'en fût le premier surpris. Estomaqué.

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Lors d'une conversation téléphonique avec madame Manon Alain elle me demanda si je pouvais fournir mes documents à la banque Nationale du Canada en lui faisant parvenir à elle même par courriel. Je recopie donc ici-bas, le message que j'ai transmis à madame Alain auquel était joint une image numérique de la traite et ce recto & verso. La dernière partie montre l'accusé réception émis par le système informatique de la Banque Nationale du Canada et que j'ai reçu en confirmation à mon message.

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From: Off Shore Financial Services (Canadian Firm).

[mailto:jean@off-shore.qc.ca]
Sent: Tuesday, August 10, 2004 6:23 PM
To: 'succursale.10651@bnc.ca'
Subject: À l'attention de Mme Manon Alain
Importance: High

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Madame Alain,

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Pour faire suite à notre discussion téléphonique de ce jour, veuillez trouver en attaché l’image (recto & verso) de la traite bancaire.

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Jean Bedard, principal owner

Off Shore Financial Services (Canadian Firm).

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-----Original Message-----

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From: Succursale.10651@bnc.ca

[mailto:Succursale.10651@bnc.ca]

Sent: Tuesday, August 10, 2004 6:38 PM

To: Off Shore Financial Services (Canadian Firm).

Subject: À l'attention de Mme Manon Alain


Return Receipt

Your document: ....À l'attention de Mme Manon Alain
was received by: ...Succursale 1065-1/SUCC/BNC
at: .......................08/10/2004 06:38:16 PM

12 décembre 2006

US$594 000. Total des transferts électroniques effectués le 5 août 2004. (1 de 2)

Ce qui, de chacun de ces 4 virements, est intéressant à remarquer, c'est l’historique au bas des pages 2 et 4, ici comme au précédent message publié. Que s’est-il passé en 2 heures, soit entre le moment où le virement a été initié celui où il a été approuvé et celui où il a finalement été complété. L’intervention humaine, nul doute, et cela voulant dire au surplus que la Banque Nationale a bénéficié de 2 autres occasions dans tout le processus pour stopper ces virements. Le transfert de US$339 000. avait servi à payer comptant la Lamborghini Murcielago, vous vous souvenez ?

Nul besoin d’attirer longtemps votre attention sur le fait que, la Banque Nationale du Canada, son procureur Me François Viau, avocat & associé chez Gowling Lafleur Henderson s.r.l. et M. Gilles Lavergne l’enquêteur et représentant légal de la Banque en cette affaire, personne n’a présenté ce document ni lors du dépôt des pièces jointes au soutien de l’action de $777 074.88 ni au cours du procès tenu les 16 et 17 novembre dernier.


US$594 000. Total des transferts électroniques effectués le 5 août 2004. (2 de 2)

01 décembre 2006

National Bank of Canada (International) Limited - NBCIL des Bahamas.

Documents issus de la NBCIL à paraître ;


  1. " CLIENT PROFILE"
  2. " CUSTODY & CURRENT ACCOUNT AGREEMENT"
  3. " TRADING AUTHORIZATION"

Berné 8 fois plutôt qu'une...par la Banque Nationale du Canada.

De l'utilisation du verbe berner, le dictionnaire mentionne ;
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Tromper, leurrer, jouer un mauvais tour à.
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Voici donc ce qui valut le titre à ce bloggue et toutes ces fois où j'affirme haut et fort l'avoir été par la Banque Nationale du Canada et nombreux de ses représentants en titre ;

1......Le 3 août 2004 lorsqu'en succursale Mme Alain m'avait affirmé que je pouvais transiger dès lors et sans problème suivant le dépôt effectué de la traite bancaire de US$1,5M ;
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2......Le 9 août 2004 lorsque, par téléphone, Mme Alain me demande de me rendre à une rencontre que nous confirmons pour le 11 août 16h00 avec le directeur de succursale M. Jacques Castonguay ;
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3......Le 11 août 2004, lorsqu'en me présentant au dit rendez-vous alors que dans les faits on avait utilisé ce subterfuge pour m'y attirer afin que j'y subisse un interrogatoire de 90 minutes de la part de M. Gilles Lavergne, enquêteur de Montréal de la sécurité de la Banque Nationale du Canada qui m'y attendait ;
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4......Le 11 août 2004, lorsque l'enquêteur Lavergne m'amène à croire que ma collaboration, qui lui est déjà acquise, aidera à solutionner plus rapidement le dossier ;
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5......Le 11 août 2004, lorsqu'au sortir de cette réunion vers les 17h30, M. Jacques Castonguay le directeur de succursale m'affirme qu'il fera tout en son pouvoir pour régler rapidement la question de mes fonds gelés (à ce moment) ;
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6......Le 8 septembre 2004, lorsque je fais parvenir mes documents accompagnés d'une lettre explicative de toute l'histoire au Service de la médiation de la Banque Nationale du Canada ;
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7......Le 16 septembre 2004, lorsque suivant une réponse négative reçue de la précédente instance, je recommence le même processus mais cette fois en m'adressant auprès du bureau de l'Ombudsman de la Banque Nationale du Canada ;
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8......Enfin, exerçant une pression indue sur le défendeur et ce pendant une période de 27 mois soit du 27 septembre 2004 (jour de la signification des procédures) au 14 novembre 2006 (moins de 48 heures avant le début de l'audience) les procureurs de la Banque Nationale du Canada ne dévoileront jamais avec exactitude l'état de la récupération de la somme de 777 074.88$ faisant l'objet de l'Action initiale en recouvrement devant la Cour supérieure du Québec.

30 novembre 2006

Nota Bene aux constituants de "ma" cellule de crise.

Veuillez prendre note qu’il n’y aura pas de publication en après-midi, aujourd’hui, jeudi, 30 novembre 2006.


Merci et bon congé.



Jean Bédard



À paraître bientôt ;

Documents d’incorporation (1 de 2) International Business Corporation (IBC) à la National Bank of Canada (International) Limited - NBCIL des Bahamas.

Documents d’incorporation (2 de 2) International Business Corporation (IBC) à la National Bank of Canada (International) Limited - NBCIL des Bahamas.

Berné 8 fois plutôt qu'une...par la Banque Nationale du Canada.
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Mme Manon Alain, linchée par la BNC, son représentant et ses procureurs.
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Le prêt à vue.
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La localisation de votre succursale.
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Liste de comptes bancaires utilisés par la BNC & BNCIL
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Des nouvelles d’Adrienne.
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David vs Goliath
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Dommages-intérêts.

Les fesses du président et chef des opérations à la Banque Nationale du Canada, M. Louis Vachon.

C’est qu’il ne les montre pas à tous les passants. Au sens figuré, bien sûr, mais suite à ma procédure pour l'assigner comme témoin en lui faisant signifier un Bref de subpoena par huissier, M. Louis Vachon, président et chef des opérations à la Banque Nationale du Canada, a dû montrer ses fesses.
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Ainsi, il a été affirmé solennellement par M. Louis Vachon lui même que c'est Me Éric Laflamme, avocat Président et chef de la direction de Trust Banque Nationale qui est responsable des relations entre Banque Nationale du Canada et National Bank of Canada (International) Limited des Bahamas - (NBCIL). Avocat de formation depuis 1984, ce dernier, peu avant l'arrivée du nouveau millénaire aurait séjourné et habité les Bahamas. À cette époque où les bureaux de la NBCIL étaient situés sur Charlotte Street, Me Éric Laflamme occupait la fonction de Vice-président Administration à la National Bank of Canada (International) Limited de Nassau aux Bahamas.

J'imagine que les questions et actions prochaines de messieurs Tremblay et Demers, enquêteurs à la Division des enquêtes spéciales à l'Agence des douanes et du revenu du Canada seront dirigées vers Me Laflamme.

Et ce, bien entendu, si ce dernier, n'est pas, comme l'ont été avant lui, madame Manon Alain et monsieur Jacques Castonguay, déplacé et caché dans les dédales de cette grande organisation qu'est la Banque Nationale du Canada. Vous savez tout comme le faisait Amélie Poulin avec les nains de jardin de chez son père.
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Présage, diront certains. Justement, le nain de jardin reproduit ci contre se nomme Éric avec sa bèche ;
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29 novembre 2006

"Adrienne" ! "Adrienne" !

Inclure cette référence au film Rocky me semblait rigolo. Approprié certainement, comme vous serez à même de le constater très bientôt.
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Vendredi. 17 novembre 2006. 10h30. Les plaidoiries des parties sont terminées et les pugilistes se retirent chacun dans leur coin le temps que monsieur le juge quitte sa salle en annonçant prendre la cause en délibéré.
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Je ramasse mes documents et les place à l’intérieur de ma valise. Je quitte à mon tour en m’adressant aux personnes encore présentes soit Me François Viau, M. Gilles Lavergne et la greffière lançant un "Bonjour et bon weekend à tous".
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Moins de 10 mètres parcourus hors de la salle de Cour, je tourne les talons et je retourne dans l’enceinte et me dirige d’un pas décidé vers Me François Viau lui tendant la main en lui disant "Me Viau, ce fut un plaisir" et posant le même geste cette fois envers M. Lavergne une poignée de main et le saluant simplement "M. Lavergne".
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Et là, je quittai à nouveau la tête haute et fier de moi. Il ne pouvait en être autrement.
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Aznavour dans sa chanson "Il faut savoir"….. il y chante qu’il faille savoir quand quitter la table…la façon de la quitter avec manières et distinction me paraît, quant à moi, tout aussi importante.

Formulaires de demande de carte de crédit offshore à la National Bank of Canada (International) Limited - NBCIL des Bahamas

Lire aussi ; National Bank of Canada (International) Limited et la carte de crédit Barclay's

28 novembre 2006

Le cul sur la glace

Il s’agit ici, vous l’aurez compris, d’une figure de style faisant état de la mauvaise ou si vous préférez de la fâcheuse position où se retrouve l’une ou l’autre des parties en présence lors d’une audience à la Cour. Inutile de vous préciser que ce genre d'observation évocatrice se fait à l'insu du décorum présent à la Cour supérieure du Québec. Cependant, les ajournements sont de bons moments pour tabler sur l'ébranlement que pareille remarque peut provoquer à la confiance de l'autre partie.

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Toujours est-il qu'elle me vient de Me François Viau, avocat & associé chez Gowling Lafleur Henderson s.r.l.

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Eh bien, le 17 novembre 2006. Dernier matin du procès. L’expression "Le cul sur la glace" a été mentionnée à deux (2) reprises.

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En quelle circonstance ? Par qui ? Dans quel ordre surtout ? Toutes ces questions trouveront très bientôt réponses.

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Tout comme vous, très certainement, j’avais entendu dire que lorsqu’un avocat remuait les lèvres c’est qu’il mentait. Démonstration indubitable d'un art oratoire maîtrisé, sachez maintenant, qu’à la fois et aisément, il puisse le faire tout aussi vulgairement. .

Grille tarifaire des services financiers offerts à la National Bank of Canada (International) Limited - NBCIL des Bahamas

27 novembre 2006

Honoraires de 450.$ l'heure facturés à la "Pompe".

Triez sur le volet une poignée de professionnels chevronnés en matière de relations avec les médias et en temps de campagne électorale accolés les aux vedettes politiques montantes et vous obtiendrez ce qui est communément convenu d’appeler des fabricants d’image.
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À l’extrême, ce même groupe pourra exceller en la discipline de "Damage control" soit limiter les dommages qui pourraient être causés à l’image corporative de leurs clients par des personnes ou groupes de pression. Le but ultime est simple; vous devez contrôler l’information et les médias. Coûte que coûte, le mot d’ordre étant de discréditer l'agitateur et garder sauve l’image de votre client payeur.
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Quand vous êtes associé chez Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l. et que votre client est, et ici je me dois de citer Me François Viau, avocat, le 17 novembre 2006 "M. Bédard, c’est une banque, une vraie pompe à argent" ces énormes moyens financiers, illimités presque, peuvent donner le vertige et laisser prendre forme à presque tout délire fusse-t-il fantasmatique. Ainsi, Me Viau, me confiait "M. Bédard, tu fais peur". "Tu me fais peur". "Nous avons formé une cellule de crise". Ces affirmations de Me Viau venaient en réponse à deux (2) remarques que je venais de lui adresser. Les voici ;
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1......"Me Viau, votre cliente a certainement dépensé beaucoup plus de $10 000. et ce dans la seule dernière semaine". "Et 500 000.$ (½ million de dollars) dans toute cette aventure".
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2......"Me Viau, en cas de défaite, votre bureau et vous risquez de perdre un client (lire Banque Nationale du Canada) qui doit rapporter, en honoraires, selon moi, entre 3 et 5 millions de dollars annuellement".
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Aucun de ces chiffres n'a été contesté par Me Viau.
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De retour chez Gowling, Lafleur, Henderson s.r.l., et dans le cas qui nous occupe, à partir du bassin de leur centaine de personnes spécialistes dans les relations avec les médias formez un groupe qui sera au fait de tous les gestes et actions d’un individu ou groupe trouble fête. Et bien, sachez que cette cellule de crise existe bel et bien et qu’au surplus, ces braves personnes me sont entièrement dévouées. .Que d’attention. .Vraiment.
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Bien évidemment, ma proposition de subir le test du polygraphe tient toujours.

Enfantdechienniser…seule vraie raison d'être des bureaux du service de la médiation et de l’Ombudsman à la Banque Nationale du Canada ?

24 novembre 2006

I’ll be there….for you.

"Je serai là". .Pour la plupart des gens, il est rassurant de savoir pouvoir compter sur des appuis et/ou du réconfort en cas d’éventuels coups durs ou d'épreuves dans la vie.
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"Je serai là", me répéta-t-il d'un ton ferme et avec insistance.

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"Je serai là". Je, c’est Me François Viau, avocat & associé chez Gowling Lafleur Henderson s.r.l.

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Ne vous méprenez pas. Parce qu’en ce matin du 17 novembre 2006, les paroles exactes ainsi que le contexte dans lequel cette phrase a été prononcée était le suivant ;

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Avant le début de l’audience, Me Viau et moi étions en retrait hors de la salle de Cour. Il me mentionna qu’il était sur le point de gagner la cause et que je demeurerais avec une dette financière importante. Il me présenta alors une offre de règlement. Une nouvelle. En fait, une troisième depuis le début des procédures.

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Nouveau refus retentissant de ma part. "M. Bédard, vous êtes prêt à prendre ce risque et de vous voir dans l’obligation de déclarer faillite". LE "Je serai là" prit tout son sens à ce moment. "Je serai présent à l’étape de l’assemblée des créanciers et à chaque fois que je le pourrai afin de m’assurer que tu en baves tout au long du processus et au delà". Puis parlant de mon bloggue "J'ai plein d'avocats au cabinet spécialisés en diffamation qui n'attendent que cela te rentrer dedans".

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De l’intimidation. De cette façon, répondait-il à une ultime commande de la Banque Nationale du Canada pour tenter une nouvelle fois de me casser ? Ce qui n'avait été qu'insuccès au cours des 27 derniers mois. Agissait-il à ce moment de son propre chef suivant des méthodes de négociation habituelles ? Je ne sais pas. Devrais-je également comprendre de ces paroles que mon intégrité physique serait menacé en cas de refus dudit règlement ? .Autant de questions.
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Si vous êtes un lecteur assidu, vous savez déjà que par le passé j'ai accepté, de subir le test du polygraphe à 2 reprises déjà. Une première le 12 août 2004 à la demande de la Banque Nationale du Canada. La seconde, le matin du 15 septembre 2004 alors que le service de police de la Ville de Québec (SPVQ) effectuait une descente à mon domicile. .À nouveau, et pour une 3ème fois, je réitère mon acceptation concernant ces derniers écrits ou touts autres faits rapportés dans ce bloggue. .Il y a d'autre volontaire ?

Derniers développements dans l'histoire du Saguenéen Martin Tremblay.

Président déchu de Dominion Investments des Bahamas ainsi qu'ancien collaborateur et ami personnel de M. Paul-Martin Séguin directeur de compte à la National Bank of Canada (International) Limited¹ également des Bahamas, Martin Tremblay aurait conclu une entente avec les autorités américaines.
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Incarcéré depuis le 20 janvier 2006, Martin Tremblay a plaidé coupable à des accusations réduites de blanchiment d'argent concernant une somme très réduite celle-là de US$20 000. La poursuite semble avoir fait défaut de prouver le montant initial d'un milliard de dollars (US$1G) invoqué au moment de son arrestation.
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Son retour devant les tribunaux est prévu pour le 13 février 2007 moment où nous saurons si le juge entérinera l'entente qui serait, selon les dires, de 70 mois de détention.
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L'évolution dans cette affaire semble vouloir me donner raison, alors que je la commentais ici même le 29 mai 2006 dans l'article s'intitulant;
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National Bank of Canada (International) Ltd et Dominion Investments, des liens d'affaires?
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¹ National Bank of Canada (International) Limited ou NBCIL – entité offshore des Bahamas détenue et opérée par la Banque Nationale du Canada.

23 novembre 2006

Coût total de l'opération 47.58$

1 signification..........................28.49$

1 rapport de signification.............11.10$

1 envoi Xpress post à Montréal........7.99$
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J'ai toujours considéré le bonheur comme étant une succession de beaux moments. Mais là, observer pendant 3 heures un brillant et talentueux avocat déployer tout l'arsenal pour sauver les fesses de sa cliente.

Ça c'était du pur délice.

Rapport de signification et honoraires - Subpoena duces tecum à M. Louis Vachon, président et chef des opérations de la Banque Nationale du Canada.

21 novembre 2006

2 méprises valent mieux que...2 prises.

Jeudi le 16, la journée avait bien mal débutée. .À mon arrivée dans le stationnement près du palais de justice, je sors mon veston de sa housse. Horreur. Alors que je porte un pantalon de couleur bleu marin c’est le veston noir d’un autre complet qui se dévoile à moi à la lumière du jour. NONNNNNN. Où étais-tu, lumière, hier soir vers 23h30 ou ce matin à 5h00 alors que j’avais préparé et revérifié mes vêtements pour l’audience à la Cour. En revanche, c’était clair dans mon esprit. Je n'allais certe pas déambuler dans le palais de justice avec un tel accoutrement. .Au moins j’avais des bas. .C'est que, voyez-vous, je ne porte presque jamais de bas et ce été comme hiver.
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Le même jour. Ajournement pour le dîner. .La gentille dame qui officiait de bras droit à monsieur le juge me demande si j’ai une gomme. .Je réponds que oui avant de plonger ma main droite dans la poche de mon pantalon pour lui en offrir une. .Au cours de cette courte motion, à ma grande surprise, elle, à mon oui en réponse me rétorque "vous n’avez pas le droit de mâcher en Cour". Bon, effectivement j’avais une gomme. J’ai toujours une gomme. Je mâche rarement en revanche. Je ne mâchais pas aurais-je pu répondre. Je grinchais des dents bon…et la gomme s’y trouvais.

19 novembre 2006

Dimanche matin...repos et musique.

C'est quelque chose que j'aime flâner le dimanche matin. Écouter de la musique en est une autre. J'ai décidé qu'aujourd'hui je n'alimenterais pas mon bloggue. Après tout, hier, j'ai dû écrire plus de 20 nouveaux articles à paraître ici dès que le jugement sera tombé.
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J'écoute Espace musique à la radio musicale de Radio-Canada qui diffuse de la belle musique en ce dimanche, Classique en ce moment, jazz les soirs de semaine, jazz les weekends en soirée. J'aime écouter de la musique et j'aime le jazz. Je préfère, pour la variété, la radio au CD d'un seul artiste. Au contraire, Isabelle Boulay, que je trouve hyper jolie, je vous mentionne ça au passage, je peux facilement écouter tout son album. La parution de "Mieux qu'ici-bas" remonte déjà à l'an 2000.
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Elle change pas Isabelle Boulay, c'est toujours aussi bon à l'écoute. Elle change pas Isabelle Boulay, les gens en général ne changent pas. J'écoute sa chanson
Jamais assez loin. Vous savez c'est celle où...je vous reproduis quelques extraits dont le début de la chanson...toujours pas de souvenirs, la mémoire vous reviendra ;
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Cette vieille valise qui vit près de ma porte,
Égratignée de toutes nos aventures,
Avec ses étiquettes des pays qu'on transporte,
Dessinant le parcours de notre histoire.
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Chaque nuit dans mon insomnie sauvage,
C'est comme si je l'entendais chuchoter.
Comme si elle me parlait avec tes mots
Devenus sourds tellement qu'ils sont usés.
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Tous les trains,
Tous les bateaux,
Tous les avions
Ne m'emmèneront
Jamais assez loin
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â l'âge que j'ai, je veux voyager léger.
Aucune amarre pour m'empêcher de partir.
Rien à déclarer et rien pour m'alourdir.
Comme cette vieille valise remplie de souvenirs.
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Les gens changent pas. Dans mon cas, j'ai jamais su voyager léger. Mais vous savez quoi, j'ai jamais trouvé que j'en emportais trop avec moi. Et, j'aime avoir tout sous la main. Les gens changent pas. M. Lavergne, l'enquêteur, par exemple, il ne change pas. Il s'est présenté à la Cour et ressemblait en tout point à ce que je me souvenais de lui lors notre rencontre de 90 minutes du 11 août 2004. Sinon, qu'il n'avait que très peu d'effets apportés de Montréal avec lui pour les 2 ou 3 jours que durerait son séjour à Québec.
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Les gens changent pas. Je le croyais. À ce moment, à la Cour le 16 en fin de journée, au moment de son témoignage en fait, le souvenir de son interrogatoire mené à mon endroit et où, à chacune de mes affirmations il me confrontait avec un nouveau document tout droit sorti de son immense valise posée sur la crédence dans le bureau du directeur de la succursale M. Castonguay. Tout y était. Tout, depuis ma première journée de relation d'affaires avec la Banque Nationale du Canada. Enquête de crédit, courriels, demandes, formulaires. Tout. Et il savait exactement ce qu'il y puiserait et où il l'avait classé. Il m'avait démontré à plus d'une reprise qu'il connaissait très bien son contenu. Une pleine valise, et quelle mémoire.
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Les gens changent pas. M. Lavergne lui semble avoir changé. Pas en raison de l'âge parce qu'après une carrière de policier le voilà en menant une seconde comme enquêteur à la Banque Nationale du Canada. Mais je le crois, aujourd'hui, en mesure de voyager léger.
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M. Lavergne a changé mais comme Isabelle Boulay, j'aime l'écouter. J'aime bien M. Lavergne et sa chanson. L'entendre fredonner de la place des témoins deux fois plutôt qu'une. J'aime.

À la mémoire "sélective" de M. Gilles Lavergne, enquêteur et représentant dûment autorisé de la Banque Nationale du Canada.

Il a changé M. Lavergne mais c'est toujours aussi bon à l'écoute. Il a changé M. Lavergne. Les gens en général ne changent pas. Surtout pas moi. J'écoutais sa chanson. Vous savez c'est celle où...je vous ai reproduis quelques documents ci-haut dont le début de notre histoire...(M. Magnan directeur services financiers, M. Martin, directeur de comptes aux PME, mon certificat de "Good Standing" émis par la GRC en 1999 (je ne doute pas que mon certificat de 2004 vous ai été remis par les hauts dirigeants de la BNCIL des Bahamas).toujours pas de souvenirs, la mémoire vous reviendra, M. Lavergne.
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Malgré ses nombreux rôles, la carte d'affaires de M. Lavergne n'est toujours pas imprimée recto verso. Ce dernier matin du 17 novembre les meilleures cartes que j'avais dans mon jeu avaient été imprimées pour et m'avaient été distribuées par la Banque Nationale du Canada. La partie s'est terminée. Je n'avais pas eu à toutes les abattre ces cartes. Ce matin là, et comme ma "SUBLIME" croupière me l'avait enseigné, le donneur avait "busté".
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Après tout comment pouvait-il se souvenir de tous les 1 700 employés de la Banque Nationale annoncais-je. 17 000 me reprirent Me François Viau et M. Lavergne presque d'une seule voix. C'est 17 000 employés à la Banque M. Bédard vous avez dis 1 700. 1 minute plus tard, tous 2, s'aperçurent avoir chanté pour moi et ce dès mon signal donné.
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Les gens ne changent pas. M. Lavergne a changé. À l'image de nos hivers, il m'est apparu, à moi, moins rigoureux.
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C'est sur ces derniers mots empruntés au grand succès Frédéric de M. Claude Léveillée que je terminerai. Parce que, voyez-vous, aujourd'hui, après tout, c'est Dimanche...et le dimanche j'aime flâner et écouter de la musique. Alors je recommencerai plus tard à l'alimenter mon bloggue.
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" LA la la. Tu te rappelles..Fréféric..Allez.. Salut! "